Suis la pensée – mais pas
jusqu’au bord de l’abîme –
et ne dépouille pas
le merisier en fleur.
Laisse les pensées venir
et s’estomper dans le lointain,
et, sur l’arbre des rêves,
mûrir les grappes
quel que soit leur nom.
Suis la pensée – mais pas
jusqu’au bord de l’abîme –
et ne dépouille pas
le merisier en fleur.
Laisse les pensées venir
et s’estomper dans le lointain,
et, sur l’arbre des rêves,
mûrir les grappes
quel que soit leur nom.
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